mercredi 23 mars 2011

Bureau en entreprise : le pire endroit pour travailler


Jason Fried est le fondateur d'une entreprise américaine célèbre dans l'organisation et la gestion de projet en ligne, 37SignalsIl évoque ici la difficulté de travailler de manière concentré et efficace dans un bureau en entreprise, comme un hymne au télétravail ?


lundi 7 mars 2011

Canton de Murat : le levier économique du télétravail

Canton de Murat : le levier économique du télétravail

En marge du tourisme et de la filière bois, le télétravail représente une belle opportunité sur le canton de Murat. Mais pour cela, il faut inciter les adeptes du travail à distance à s'installer sur le territoire.

Avec le Lioran, le puy Mary, le lac du Pêcher, le Plomb du Cantal ou encore ses tourbières, le canton de Murat, situé au coeur du Parc naturel des volcans d'Auvergne, a plus d'un atout touristique dans sa manche.

En marge de l'économie liée au tourisme, le territoire muratais a également misé sur la filière bois. La ville centre a été l'une des premières du département à se doter, en 2008, d'un réseau de chaleur bois d'une longueur totale de 1.228 mètres.

L'inauguration, en novembre dernier, au parc d'activités intercommunal du Martinet, d'une scierie flambant neuve, et le projet de plateforme de séchage et de stockage du bois, qui devrait prochainement voir le jour sur ce même site, révèlent que la Communauté de communes compte bien poursuivre la dynamique de la filière.

Le télétravail constitue un autre levier de développement économique sur lequel le Pays de Murat fonde beaucoup d'espoirs.

Ceux qui cliquent prendront le train

INNOVATION - La SNCF a organisé un débat sur la gare du futur. Où les idées les plus folles ont rencontré les plus simples…

Au 19è siècle, on les appelait les «cathédrales des temps modernes». Les gares d’aujourd’hui ont bien changé. Elles sont devenues de «vraies petites villes intelligentes» explique Dominique Hok, directeur du développement «Smarter Cities» chez IBM France. Mercredi soir, il participait à un débat organisé par Gares et Connexions, cinquième branche de la SNCF, sur «la gare, temple de la technologie».

L’information-voyageurs est bien sûr au centre de cette technologie. Surtout à l’heure du mobile. «Les usagers se sont saisis des outils qui leur ont été proposés en terme d’application mobile, les transporteurs entrent dans cette modernité avec plus de difficulté» explique cependant le sociologue Bruno Marzloff, animateur du groupe Chronos. «Nous avons mené une étude qui montre que 1 à 2% seulement des usagers utilisent des applications mobiles dans leurs déplacements, mais que 65% pensent que cela a de l’avenir. Cela montre l’écart entre l’offre et la demande.»

Des bornes «tag and go» pour charger un billet sur son portable

Pourtant la SNCF entend bien faire de ses clients «des acteurs» de la mobilité, comme l’a réaffirmé Marie-Pierre Meynard, directrice Innovation et recherche au sein du groupe, et continue de développer des outils dans ce sens. Comme l’application «Follow me and personnal unit service». 

mercredi 23 février 2011

Wibox, le FAI du monde rural, affiche ses ambitions

Wibox, FAI spécialisé dans le raccordement à haut et très haut débit des zones rurales compte déjà plus de 10.000 abonnés. Avec 50.000 prises fibre optique éligibles et une nouvelle offre commerciale, il affiche ses ambitions pour 2011.
J’ai déjà parlé ici de Wibox, qui avait lancé en décembre une opération promotionnelle consistant à offrir 4000 raccordements à ses offres haut et très haut débit, frais d’installation à domicile compris.
Cet après-midi, Wibox a organisé une webconférence pour faire le point sur son développement et présenter ses projets pour 2011.  Mettre en place un dispositif de streaming vidéo sur une liaison au départ de Saint Symphorien sur Coise, charmant village des monts du Lyonnais où est basé Wibox, était un peu osé et la webconférence a été interrompue à quelques reprises par suite d’incidents techniques. Pour autant, et au-delà de l'aspect évidemment commercial de cette opération, l'initiative n'était pas inintéressante.
En introduction, Thomas Gassilloud, président de Wibox, a dressé avec son équipe le bilan de 2010. Wibox, filiale d’Altitude Infrastructure (*) a fusionné à l’automne avec Luxinet : les moyens techniques des deux petits opérateurs ont alors été mutualisés et structurés, afin d’optimiser les moyens. Aujourd’hui Wibox compte 10.000 abonnés, principalement en WiMAX, et ne compte pas en rester là en développant les raccordements en fibre optique : le FTTH permettra d’offrir des débits bien supérieurs à ceux des technologies WiMAX, ADSL et satellite sur lesquelles Wibox s’appuie déjà.
Aujourd’hui, Wibox met l’accent sur les services et les usages plus que sur les technologies. Pour illustrer ce que peut apporter le haut et très haut débit à un territoire rural, deux exemples intéressants ont été présentés :
• Xavier de Mazenod, animateur de ZeVillage, s’est impliqué dans la création d’un télécentre destinée à accueillir des télétravailleurs souhaitant localiser leur activité dans l’Orne. Installé à Boitron, une petite commune de 320 habitants seulement, Xavier Mazenod a été raccordé depuis 2005 avec une liaison symétrique à 1 Mb/s. Pour lui, si la qualité de service est bonne avec une seule panne en 6 ans, il faut maintenant monter en débit : cela sera fait en 2011 avec une liaison fibre optique symétrique à 30 Mb/s symétrique, qui permettra de raccorder non seulement le télécentre inauguré cet automne mais aussi tous les habitants du village dans de très bonnes conditions.
• Mickael Rageys, agriculteur dans les monts du Lyonnais, exploite en GAEC un élevage d’une centaine de vaches laitières. Il a montré comment, via un accès Internet à haut débit, il peut surveiller ses étables 24 heures sur 24 alors  même qu’il n’habite pas sur l’exploitation. Grâce à des caméras pilotables à distance, et  des éclairages télécommandés, il peut en effet suivre  ses vaches, notamment en période de vêlage, sans avoir à se déplacer à tout moment pour une fausse alerte. Et pourquoi pas un jour, envisage cet agriculteur, commander les barrières à distance via la connexion Internet ?
Pour permettre le développement de nouveaux services, qui facilitent la vie des habitants des zones rurales d nos territoires, Wibox veut rapidement accroître le débit offert à ses abonnés ; aujourd’hui pour du télétravail 2 Mb/s de débit descendant ne suffisent plus, et 4 Mb/s sont désormais l’objectif affiché. Pour y arriver Wibox mise sur la fibre optique, avec un marché potentiel qui compte déjà 50 .000 prises éligibles, sur tout le territoire.

vendredi 18 février 2011

Le Puy-de-Dôme prône le télétravail

Le Puy-de-Dôme prône le télétravail

"Le télétravail, c'est une révolution intellectuelle !". Le président du Conseil général du Puy-de-Dôme, Jean-Yves Gouttebel, en est convaincu, l'avenir est au télétravail. Depuis 2007, cette collectivité teste, de façon pionnière, le travail de 88 de ses agents à domicile. "Les résultats sont tellement encourageants que nous avons décidé d'élargir cette expérience à 250 agents du département dans les mois à venir".
Le principe est simple, des salariés du Conseil général - dont un tiers de cadres et pour la plupart des femmes - travaillent en moyenne 2 jours par semaine ou 8 jours par mois de chez eux. "Un contrat de confiance" est signé entre les deux parties. Le télétravailleur établit à l'avance son programme avec son supérieur hiérarchique. Et tout le monde semble y trouver son compte.
" Cette initiative qui s'inscrit dans le cadre de l'Agenda 21, a d'abord des vertus écologiques, puisqu'elle a fait économiser 25.000 kilomètres de déplacements professionnels, ce qui représente également une économie de coût pour les agents", précise le Conseil général.
Pour le télétravailleur, c'est aussi tout bénéfice. A l'image de Vincent, chef de service à la direction des routes. "Je télétravaille tous les vendredis après-midi, ce qui me permet d'emmener ma fille au cheval. Sans cela, j'aurais dû me mettre à 80 % ". Idem pour Virginie, qui habite à Issoire, à une trentaine de kilomètres de son travail. "J'ai calculé, en travaillant de chez moi depuis 2007, j'ai économisé une heure de trajet par jour."
Depuis que le département du Puy-de-Dôme s'est lancé dans le télétravail, une soixantaine de collectivités en France se sont intéressées de près à cette expérimentation. Apparemment la "révolution" est en marche !



"Le télétravail, c'est une révolution intellectuelle !". Le président du Conseil général du Puy-de-Dôme, Jean-Yves Gouttebel, en est convaincu, l'avenir est au télétravail. Depuis 2007, cette collectivité teste, de façon pionnière, le travail de 88 de ses agents à domicile. "Les résultats sont tellement encourageants que nous avons décidé d'élargir cette expérience à 250 agents du département dans les mois à venir".
Le principe est simple, des salariés du Conseil général - dont un tiers de cadres et pour la plupart des femmes - travaillent en moyenne 2 jours par semaine ou 8 jours par mois de chez eux. "Un contrat de confiance" est signé entre les deux parties. Le télétravailleur établit à l'avance son programme avec son supérieur hiérarchique. Et tout le monde semble y trouver son compte.

" Cette initiative qui s'inscrit dans le cadre de l'Agenda 21, a d'abord des vertus écologiques, puisqu'elle a fait économiser 25.000 kilomètres de déplacements professionnels, ce qui représente également une économie de coût pour les agents", précise le Conseil général.

Pour le télétravailleur, c'est aussi tout bénéfice. A l'image de Vincent, chef de service à la direction des routes. "Je télétravaille tous les vendredis après-midi, ce qui me permet d'emmener ma fille au cheval. Sans cela, j'aurais dû me mettre à 80 % ". Idem pour Virginie, qui habite à Issoire, à une trentaine de kilomètres de son travail. "J'ai calculé, en travaillant de chez moi depuis 2007, j'ai économisé une heure de trajet par jour."

Depuis que le département du Puy-de-Dôme s'est lancé dans le télétravail, une soixantaine de collectivités en France se sont intéressées de près à cette expérimentation. Apparemment la "révolution" est en marche !

dimanche 13 février 2011

Je reste à la maison... pour travailler

Le télétravail gagne du terrain (et du temps). Le Département, pionnier en la matière veut encore l'accentuer tant il apparaît efficace et vecteur de bien-être

«Il s'agissait, au départ, d'une expérience ; nous sommes désormais en phase active. » Le télétravail tel que l'appréhende le Département a donc passé l'étape test (engagée depuis 2008) pour désormais concerner près de 90 agents et potentiellement 250 de plus. Chacun peut travailler ponctuellement chez lui, avec son propre matériel informatique et des applications ad hoc.

« Un certain nombre de tâches (rédactionnelles particulièrement) peuvent être réalisées ailleurs qu'au bureau, chez soi en l'occurrence. Le système est souple, flexible, et il s'avère qu'en termes d'efficacité, le constat est unanime. Par ailleurs, ceci limite les déplacements des agents (environ 25.000 kilomètres\an). Nous avons été les pionniers dans le domaine. Aujourd'hui de nombreuses collectivités nous sollicitent pour partager notre retour d'expérience » expliquait Jean-Yves Gouttebel, président du Conseil général.

Concrètement, les agents ont la possibilité de télé travailler deux jours par semaine. « Pas plus dans la mesure où il nous semble important de garder un lien avec la communauté professionnelle. » Il s'agit, en tout cas, « d'une révolution dans la réflexion qu'on peut avoir sur le travail en général. On ne raisonne plus en termes de temps mais uniquement sur le résultat, la tâche accomplie » précisait Dominique Giron, vice-présidente déléguée à la mise en place du télétravail.

Et les premiers concernés, qu'en pensent-ils ? Ceux présents à la conférence de presse organisée hier, étaient sur la même longueur d'ondes : d'un point de vue professionnel comme d'un point de vue personnel, il s'agit d'une vraie réussite. « Nous établissons une charte avec la ou les tâches à accomplir pour le jour dédié au télétravail, et le lendemain, à notre retour, nous rendons compte rapidement à notre supérieur », expliquait Stéphanie.

Aucune remise en question du système (qui repose beaucoup sur la confiance) n'a été effectuée depuis le lancement de l'opération, tant du côté hiérarchique que du côté des agents qui ont fait le choix du télétravail.

« Il me semble que si toutes les administrations identifiaient leurs besoins et potentialités en la matière, nous aurions tous beaucoup à gagner », rajoutait encore le président Gouttebel.

mercredi 9 février 2011

Formation au télétravail en pays de Murat (Auvergne)

Le pays de Murat est depuis plusieurs années un des pôles régionaux de l'Auvergne dédié au télétravail avec notamment un télécentre ou encore l'organisation du forum du télétravail.

ECLECTIC participe à la première session de formation 2011 organisé au centre de services à Murat, intitulé formation au télétravail indépendant.

La formation se déroule sur 2 semaines, à 15 jours d'intervalle, sur la base du plan suivant pour la 1ère tranche :

Concevoir sa stratégie marketing
Créer des outils marketing adaptés à une téléactivité
Organiser son travail à domicile
Choisir le statut de son entreprise et l'enregistrer
Démarcher ses clients à distance


La 2e session se déroule sur la base des modules suivants :
Produire des prestations de qualité
Gérer ses factures et sa trésorerie
Tenir sa comptabilité
Développer le fond de commencer de sa téléactivité
Aspects technologiques du télétravail


Pour en savoir plus, participer à cette formation dédiée au télétravail (salarié ou indépendant), rendez-vous sur la page d'information du télécentre de Murat.​

vendredi 28 janvier 2011

jeudi 27 janvier 2011

Tunisie : retour progressif à la normale

Par Astrid de MONTBEILLARD, 26/01/2011

L'activité des centres d'appels en Tunisie revient à la normale. Télétravail, horaires aménagés: chaque plateforme s'organise pour répondre au mieux aux nombreux appels et garder la confiance des donneurs d'ordres.
«Depuis lundi, le travail a repris dans les principaux centres d’appels», constate Alain Guettaf, directeur général de Pro2c et vice-président de la Chambre nationale syndicale des centres d’appels et de la relation client en Tunisie (Carec). Perturbée ces derniers jours, l’activité des plateformes installées en Tunisie poursuit son retour à la normale. Sur place, les prestataires tunisiens comme Pro2c, et les outsourceurs comme Teleperformance, déploient des mesures afin de maintenir la qualité du service fourni à leurs clients, tout en garantissant la sécurité des salariés.
Assurer la sécurité des salariés et la continuité du service
Ainsi, Teleperformance –dont tous les centres de contact ont réouvert mardi dernier– aménage les horaires de ses collaborateurs. Ces derniers sont présents entre 8h et 15h, afin qu’ils puissent rejoindre leur domicile avant le couvre-feu, toujours fixé à 20h. De son côté, Pro2c loue des voitures et met en place un système de covoiturage pour assurer le transport des salariés entre le lieu de travail et le domicile. Pour garantir une continuité de service à ses clients, Teleperformance assure le relais des équipes tunisiennes via ses plateaux installés en France et au Maroc. Pro2c, qui ne possède pas de structures à l’étranger, propose à ses collaborateurs, dans l’incapacité de se déplacer, de répondre aux nombreux appels téléphoniques depuis leur domicile.
Des consommateurs compréhensifs
Solidaires des Tunisiens, les consommateurs de tous pays saluent les efforts déployés par les centres de contact. «Nous avons été agréablement surpris par l’attitude de nos clients, qui nous ont fait part de toute leur sympathie et de leur soutien», constate Alain Guettaf (Pro2c). Constatant la capacité des téléopérateurs à rependre le travail, la Carec planche sur de nouvelles résolutions pour garantir la continuité du service.


«Depuis lundi, le travail a repris dans les principaux centres d’appels», constate Alain Guettaf, directeur général de Pro2c et vice-président de la Chambre nationale syndicale des centres d’appels et de la relation client en Tunisie (Carec). Perturbée ces derniers jours, l’activité des plateformes installées en Tunisie poursuit son retour à la normale. Sur place, les prestataires tunisiens comme Pro2c, et les outsourceurs comme Teleperformance, déploient des mesures afin de maintenir la qualité du service fourni à leurs clients, tout en garantissant la sécurité des salariés.




Assurer la sécurité des salariés et la continuité du service
Ainsi, Teleperformance –dont tous les centres de contact ont réouvert mardi dernier– aménage les horaires de ses collaborateurs. Ces derniers sont présents entre 8h et 15h, afin qu’ils puissent rejoindre leur domicile avant le couvre-feu, toujours fixé à 20h. De son côté, Pro2c loue des voitures et met en place un système de covoiturage pour assurer le transport des salariés entre le lieu de travail et le domicile. Pour garantir une continuité de service à ses clients, Teleperformance assure le relais des équipes tunisiennes via ses plateaux installés en France et au Maroc. Pro2c, qui ne possède pas de structures à l’étranger, propose à ses collaborateurs, dans l’incapacité de se déplacer, de répondre aux nombreux appels téléphoniques depuis leur domicile.



Des consommateurs compréhensifs

Solidaires des Tunisiens, les consommateurs de tous pays saluent les efforts déployés par les centres de contact. «Nous avons été agréablement surpris par l’attitude de nos clients, qui nous ont fait part de toute leur sympathie et de leur soutien», constate Alain Guettaf (Pro2c). Constatant la capacité des téléopérateurs à rependre le travail, la Carec planche sur de nouvelles résolutions pour garantir la continuité du service.

Développement du télétravail


Le centre d'appels Easycare a été reçu par Frédéric Lefebvre, Secrétaire d'Etat au commerce, pour participer à une réunion de travail sur le développement du télétravail, au Ministère de l'Economie des Finances et de l'Industrie.

Easycare est le premier centre d'appels français à s'être tourné exclusivement vers une organisation en télétravail. Passées maître dans l'installation de plate-forme collaborative, ses équipes managériales ont acquis une connaissance approfondie des processus et des outils nécessaires au travail à distance en centre d'appels.
« Richesse du bassin d'emploi, flexibilité accrue, coûts et turnover réduits : le télétravail est particulièrement bien adapté aux problématiques du secteur des centres d'appels », précise David Klajman, Directeur général adjoint et co-fondateur d'Easycare. «Nous avons pu constater que le succès du télétravail dans les centres d'appels aux Etats-Unis et en Angleterre avait servi d'exemple et conduit à développer plus généralement ce modèle d'organisation. Nous espérons que la France, en retard dans ce domaine, empreinte le même chemin et que notre expérience technique et managériale acquise en matière de télétravail contribue à inspirer d'autres secteurs d'activités », ajoute-t-il.

Easycare pilote, actuellement, le projet de développement des solutions de télétravail qui équiperont les futurs télécentres périurbains, prévus dans le cadre du projet WITE 2.0, du pôle de compétitivité Advancity.



Vers une société de l’information en Ile-de-France

Dans le cadre de la politique régionale, en associant ses partenaires et les acteurs régionaux publics et privés, ARTESI Ile-de-France favorise l’émergence de la société de l’information en Ile-de-France et contribue à l’appropriation des technologies de l’information et de l’internet.

Organisme associé du Conseil régional, ARTESI Ile-de-France est une agence de développement des TIC à l’écoute et au service des territoires. Elle exerce une mission d’animation spécialisée auprès des collectivités locales franciliennes pour les accompagner dans le processus d’appropriation des technologies de l’information et de la communication à des fins de service public.

Cet accompagnement consiste à créer les conditions d’un développement maîtrisé, durable et équilibré de la société de l’information à l’échelle de la région en fournissant aux acteurs publics locaux les ressources nécessaires pour structurer, enrichir et consolider leur démarche et faciliter leurs projets.

En 1998, ARTESI Ile-de-France a orienté ses actions vers le développement des Nouvelles Technologies de l’information et de l’Internet (NTIC) en Ile-de-France et s’est fixée comme mission de promouvoir le développement des usages et des services internet au bénéfice des territoires.

ARTESI Ile-de-France, au regard de ses missions, des objectifs poursuivis et de ses engagements au service de l’intérêt général, apporte sa contribution dans différents domaines.

Gagnants du concours pour le salon Vinidôme

Adisto Suite à notre concours pour gagner des places pour le salon Vinidôme, voici les gagnants qui recevront par courrier leurs invitations pour deux personnes !
En espérant vous y retrouver!!!!
ADiSTO


Marie Dorange
Loic Augustin Murat
Émilie Jalabert
Stadelmann Virginie
Philippe Hubert
QuinzeInfo Lecantalbouge
Thierry Missonnier
Emilie DaRocha Duchand

dimanche 9 janvier 2011

Les fonctionnaires vont découvrir le télétravail

Les fonctionnaires vont découvrir le télétravail
Source : La Tribune.fr - 09/01/2011 | 09:00 - 324 mots | |
Georges Tron, secrétaire d'Etat à la Fonction publique, va lancer une mission d'inspection sur le potentiel de développer le télétravail dans la fonction publique.
Il existe un « retard de l'Etat employeur » dans le domaine du télétravail, avance le secrétaire d'Etat à la Fonction publique, Georges Tron. La fonction publique compte en effet « 1 % de ses effectifs en télétravail », contre « 7 % dans l'ensemble de la population active ».
Afin d'y remédier, une mission d'inspection est lancée cette semaine, conjointement avec le ministre du Budget, François Baroin. Il s'agit de « réaliser un état des lieux qui soit fiable » dans les trois fonctions publiques et d'« identifier les conditions de la réussite du développement du tététravail », a précisé Georges Tron à « La Tribune ». Les organisations syndicales seront ensuite « associées » à sa mise en oeuvre, a-t-il assuré.
Car pour le secrétaire d'Etat, ce mode d'activité permet de « meilleures conditions de travail » et une « valorisation de la prise de responsabilité ». La diminution du nombre des trajets, qui engendre une réduction de la pollution et des économies de temps, se révèle également la bienvenue dans un contexte de regroupement géographique des administrations. A l'occasion de la réforme de la carte judiciaire, certains personnels de greffe des conseils de prud'hommes ont pu adopter le télétravail, cite en exemple Georges Tron.
« Souffrance »
Au ministère des Affaires étrangères et quelques collectivités, « on offre cette possibilité à des personnes handicapées », souligne-t-il aussi. Pour des « salariés à mobilité réduite, le déplacement quotidien peut occasionner une souffrance », approuve Jean-François Caffarelli, directeur du FIPHFP (Fonds pour l'insertion des personnels handicapés dans la Fonction publique). C'est la raison pour laquelle le FIPHFP peut « financer l'aménagement du poste de travail » au domicile. Toutefois, cette aide est soumise à conditions, précise Jean-François Caffarelli, notamment que le télétravail ne coupe pas le salarié du « collectif du travail ». Le télétravail s'effectuera sur la base du volontariat et ne devra pas couper les agents du service, a assuré Georges Tron. Sara Sampaio
Sara Sampaio - 09/01/2011, 09:00

Les fonctionnaires vont découvrir le télétravail

Georges Tron, secrétaire d'Etat à la Fonction publique, va lancer une mission d'inspection sur le potentiel de développer le télétravail dans la fonction publique.

Il existe un « retard de l'Etat employeur » dans le domaine du télétravail, avance le secrétaire d'Etat à la Fonction publique, Georges Tron. La fonction publique compte en effet « 1 % de ses effectifs en télétravail », contre « 7 % dans l'ensemble de la population active ».

Afin d'y remédier, une mission d'inspection est lancée cette semaine, conjointement avec le ministre du Budget, François Baroin. Il s'agit de « réaliser un état des lieux qui soit fiable » dans les trois fonctions publiques et d'« identifier les conditions de la réussite du développement du tététravail », a précisé Georges Tron à « La Tribune ». Les organisations syndicales seront ensuite « associées » à sa mise en oeuvre, a-t-il assuré.

Car pour le secrétaire d'Etat, ce mode d'activité permet de « meilleures conditions de travail » et une « valorisation de la prise de responsabilité ». La diminution du nombre des trajets, qui engendre une réduction de la pollution et des économies de temps, se révèle également la bienvenue dans un contexte de regroupement géographique des administrations. A l'occasion de la réforme de la carte judiciaire, certains personnels de greffe des conseils de prud'hommes ont pu adopter le télétravail, cite en exemple Georges Tron.

« Souffrance »

Au ministère des Affaires étrangères et quelques collectivités, « on offre cette possibilité à des personnes handicapées », souligne-t-il aussi. Pour des « salariés à mobilité réduite, le déplacement quotidien peut occasionner une souffrance », approuve Jean-François Caffarelli, directeur du FIPHFP (Fonds pour l'insertion des personnels handicapés dans la Fonction publique).

C'est la raison pour laquelle le FIPHFP peut « financer l'aménagement du poste de travail » au domicile. Toutefois, cette aide est soumise à conditions, précise Jean-François Caffarelli, notamment que le télétravail ne coupe pas le salarié du « collectif du travail ». Le télétravail s'effectuera sur la base du volontariat et ne devra pas couper les agents du service, a assuré Georges Tron. Sara Sampaio
Sara Sampaio - 09/01/2011, 09:00