vendredi 28 janvier 2011

jeudi 27 janvier 2011

Tunisie : retour progressif à la normale

Par Astrid de MONTBEILLARD, 26/01/2011

L'activité des centres d'appels en Tunisie revient à la normale. Télétravail, horaires aménagés: chaque plateforme s'organise pour répondre au mieux aux nombreux appels et garder la confiance des donneurs d'ordres.
«Depuis lundi, le travail a repris dans les principaux centres d’appels», constate Alain Guettaf, directeur général de Pro2c et vice-président de la Chambre nationale syndicale des centres d’appels et de la relation client en Tunisie (Carec). Perturbée ces derniers jours, l’activité des plateformes installées en Tunisie poursuit son retour à la normale. Sur place, les prestataires tunisiens comme Pro2c, et les outsourceurs comme Teleperformance, déploient des mesures afin de maintenir la qualité du service fourni à leurs clients, tout en garantissant la sécurité des salariés.
Assurer la sécurité des salariés et la continuité du service
Ainsi, Teleperformance –dont tous les centres de contact ont réouvert mardi dernier– aménage les horaires de ses collaborateurs. Ces derniers sont présents entre 8h et 15h, afin qu’ils puissent rejoindre leur domicile avant le couvre-feu, toujours fixé à 20h. De son côté, Pro2c loue des voitures et met en place un système de covoiturage pour assurer le transport des salariés entre le lieu de travail et le domicile. Pour garantir une continuité de service à ses clients, Teleperformance assure le relais des équipes tunisiennes via ses plateaux installés en France et au Maroc. Pro2c, qui ne possède pas de structures à l’étranger, propose à ses collaborateurs, dans l’incapacité de se déplacer, de répondre aux nombreux appels téléphoniques depuis leur domicile.
Des consommateurs compréhensifs
Solidaires des Tunisiens, les consommateurs de tous pays saluent les efforts déployés par les centres de contact. «Nous avons été agréablement surpris par l’attitude de nos clients, qui nous ont fait part de toute leur sympathie et de leur soutien», constate Alain Guettaf (Pro2c). Constatant la capacité des téléopérateurs à rependre le travail, la Carec planche sur de nouvelles résolutions pour garantir la continuité du service.


«Depuis lundi, le travail a repris dans les principaux centres d’appels», constate Alain Guettaf, directeur général de Pro2c et vice-président de la Chambre nationale syndicale des centres d’appels et de la relation client en Tunisie (Carec). Perturbée ces derniers jours, l’activité des plateformes installées en Tunisie poursuit son retour à la normale. Sur place, les prestataires tunisiens comme Pro2c, et les outsourceurs comme Teleperformance, déploient des mesures afin de maintenir la qualité du service fourni à leurs clients, tout en garantissant la sécurité des salariés.




Assurer la sécurité des salariés et la continuité du service
Ainsi, Teleperformance –dont tous les centres de contact ont réouvert mardi dernier– aménage les horaires de ses collaborateurs. Ces derniers sont présents entre 8h et 15h, afin qu’ils puissent rejoindre leur domicile avant le couvre-feu, toujours fixé à 20h. De son côté, Pro2c loue des voitures et met en place un système de covoiturage pour assurer le transport des salariés entre le lieu de travail et le domicile. Pour garantir une continuité de service à ses clients, Teleperformance assure le relais des équipes tunisiennes via ses plateaux installés en France et au Maroc. Pro2c, qui ne possède pas de structures à l’étranger, propose à ses collaborateurs, dans l’incapacité de se déplacer, de répondre aux nombreux appels téléphoniques depuis leur domicile.



Des consommateurs compréhensifs

Solidaires des Tunisiens, les consommateurs de tous pays saluent les efforts déployés par les centres de contact. «Nous avons été agréablement surpris par l’attitude de nos clients, qui nous ont fait part de toute leur sympathie et de leur soutien», constate Alain Guettaf (Pro2c). Constatant la capacité des téléopérateurs à rependre le travail, la Carec planche sur de nouvelles résolutions pour garantir la continuité du service.

Développement du télétravail


Le centre d'appels Easycare a été reçu par Frédéric Lefebvre, Secrétaire d'Etat au commerce, pour participer à une réunion de travail sur le développement du télétravail, au Ministère de l'Economie des Finances et de l'Industrie.

Easycare est le premier centre d'appels français à s'être tourné exclusivement vers une organisation en télétravail. Passées maître dans l'installation de plate-forme collaborative, ses équipes managériales ont acquis une connaissance approfondie des processus et des outils nécessaires au travail à distance en centre d'appels.
« Richesse du bassin d'emploi, flexibilité accrue, coûts et turnover réduits : le télétravail est particulièrement bien adapté aux problématiques du secteur des centres d'appels », précise David Klajman, Directeur général adjoint et co-fondateur d'Easycare. «Nous avons pu constater que le succès du télétravail dans les centres d'appels aux Etats-Unis et en Angleterre avait servi d'exemple et conduit à développer plus généralement ce modèle d'organisation. Nous espérons que la France, en retard dans ce domaine, empreinte le même chemin et que notre expérience technique et managériale acquise en matière de télétravail contribue à inspirer d'autres secteurs d'activités », ajoute-t-il.

Easycare pilote, actuellement, le projet de développement des solutions de télétravail qui équiperont les futurs télécentres périurbains, prévus dans le cadre du projet WITE 2.0, du pôle de compétitivité Advancity.



Vers une société de l’information en Ile-de-France

Dans le cadre de la politique régionale, en associant ses partenaires et les acteurs régionaux publics et privés, ARTESI Ile-de-France favorise l’émergence de la société de l’information en Ile-de-France et contribue à l’appropriation des technologies de l’information et de l’internet.

Organisme associé du Conseil régional, ARTESI Ile-de-France est une agence de développement des TIC à l’écoute et au service des territoires. Elle exerce une mission d’animation spécialisée auprès des collectivités locales franciliennes pour les accompagner dans le processus d’appropriation des technologies de l’information et de la communication à des fins de service public.

Cet accompagnement consiste à créer les conditions d’un développement maîtrisé, durable et équilibré de la société de l’information à l’échelle de la région en fournissant aux acteurs publics locaux les ressources nécessaires pour structurer, enrichir et consolider leur démarche et faciliter leurs projets.

En 1998, ARTESI Ile-de-France a orienté ses actions vers le développement des Nouvelles Technologies de l’information et de l’Internet (NTIC) en Ile-de-France et s’est fixée comme mission de promouvoir le développement des usages et des services internet au bénéfice des territoires.

ARTESI Ile-de-France, au regard de ses missions, des objectifs poursuivis et de ses engagements au service de l’intérêt général, apporte sa contribution dans différents domaines.

Gagnants du concours pour le salon Vinidôme

Adisto Suite à notre concours pour gagner des places pour le salon Vinidôme, voici les gagnants qui recevront par courrier leurs invitations pour deux personnes !
En espérant vous y retrouver!!!!
ADiSTO


Marie Dorange
Loic Augustin Murat
Émilie Jalabert
Stadelmann Virginie
Philippe Hubert
QuinzeInfo Lecantalbouge
Thierry Missonnier
Emilie DaRocha Duchand

dimanche 9 janvier 2011

Les fonctionnaires vont découvrir le télétravail

Les fonctionnaires vont découvrir le télétravail
Source : La Tribune.fr - 09/01/2011 | 09:00 - 324 mots | |
Georges Tron, secrétaire d'Etat à la Fonction publique, va lancer une mission d'inspection sur le potentiel de développer le télétravail dans la fonction publique.
Il existe un « retard de l'Etat employeur » dans le domaine du télétravail, avance le secrétaire d'Etat à la Fonction publique, Georges Tron. La fonction publique compte en effet « 1 % de ses effectifs en télétravail », contre « 7 % dans l'ensemble de la population active ».
Afin d'y remédier, une mission d'inspection est lancée cette semaine, conjointement avec le ministre du Budget, François Baroin. Il s'agit de « réaliser un état des lieux qui soit fiable » dans les trois fonctions publiques et d'« identifier les conditions de la réussite du développement du tététravail », a précisé Georges Tron à « La Tribune ». Les organisations syndicales seront ensuite « associées » à sa mise en oeuvre, a-t-il assuré.
Car pour le secrétaire d'Etat, ce mode d'activité permet de « meilleures conditions de travail » et une « valorisation de la prise de responsabilité ». La diminution du nombre des trajets, qui engendre une réduction de la pollution et des économies de temps, se révèle également la bienvenue dans un contexte de regroupement géographique des administrations. A l'occasion de la réforme de la carte judiciaire, certains personnels de greffe des conseils de prud'hommes ont pu adopter le télétravail, cite en exemple Georges Tron.
« Souffrance »
Au ministère des Affaires étrangères et quelques collectivités, « on offre cette possibilité à des personnes handicapées », souligne-t-il aussi. Pour des « salariés à mobilité réduite, le déplacement quotidien peut occasionner une souffrance », approuve Jean-François Caffarelli, directeur du FIPHFP (Fonds pour l'insertion des personnels handicapés dans la Fonction publique). C'est la raison pour laquelle le FIPHFP peut « financer l'aménagement du poste de travail » au domicile. Toutefois, cette aide est soumise à conditions, précise Jean-François Caffarelli, notamment que le télétravail ne coupe pas le salarié du « collectif du travail ». Le télétravail s'effectuera sur la base du volontariat et ne devra pas couper les agents du service, a assuré Georges Tron. Sara Sampaio
Sara Sampaio - 09/01/2011, 09:00

Les fonctionnaires vont découvrir le télétravail

Georges Tron, secrétaire d'Etat à la Fonction publique, va lancer une mission d'inspection sur le potentiel de développer le télétravail dans la fonction publique.

Il existe un « retard de l'Etat employeur » dans le domaine du télétravail, avance le secrétaire d'Etat à la Fonction publique, Georges Tron. La fonction publique compte en effet « 1 % de ses effectifs en télétravail », contre « 7 % dans l'ensemble de la population active ».

Afin d'y remédier, une mission d'inspection est lancée cette semaine, conjointement avec le ministre du Budget, François Baroin. Il s'agit de « réaliser un état des lieux qui soit fiable » dans les trois fonctions publiques et d'« identifier les conditions de la réussite du développement du tététravail », a précisé Georges Tron à « La Tribune ». Les organisations syndicales seront ensuite « associées » à sa mise en oeuvre, a-t-il assuré.

Car pour le secrétaire d'Etat, ce mode d'activité permet de « meilleures conditions de travail » et une « valorisation de la prise de responsabilité ». La diminution du nombre des trajets, qui engendre une réduction de la pollution et des économies de temps, se révèle également la bienvenue dans un contexte de regroupement géographique des administrations. A l'occasion de la réforme de la carte judiciaire, certains personnels de greffe des conseils de prud'hommes ont pu adopter le télétravail, cite en exemple Georges Tron.

« Souffrance »

Au ministère des Affaires étrangères et quelques collectivités, « on offre cette possibilité à des personnes handicapées », souligne-t-il aussi. Pour des « salariés à mobilité réduite, le déplacement quotidien peut occasionner une souffrance », approuve Jean-François Caffarelli, directeur du FIPHFP (Fonds pour l'insertion des personnels handicapés dans la Fonction publique).

C'est la raison pour laquelle le FIPHFP peut « financer l'aménagement du poste de travail » au domicile. Toutefois, cette aide est soumise à conditions, précise Jean-François Caffarelli, notamment que le télétravail ne coupe pas le salarié du « collectif du travail ». Le télétravail s'effectuera sur la base du volontariat et ne devra pas couper les agents du service, a assuré Georges Tron. Sara Sampaio
Sara Sampaio - 09/01/2011, 09:00